Laurent Campelonne : “Diriger un orchestre, c’est comme une danse que l’on danse à deux”

Rencontre avec Laurent Campelonne, qui sera de sa baguette, à la direction musicale de Carmen, à l’Opéra Grand Avignon, les 5 et 7 juin 2016.

“Diriger un orchestre, c’est comme danser une danse à deux”. C’est une influence, une connexion entre le chef et l’orchestre qui à l’occasion de Carmen, s’affirme et voyage vers la liberté. “Carmen est la réincarnation de la Liberté, une piqûre de rappel pour toutes les femmes d’aujourd’hui.”

“Avec une distrubution francophone comme celle ci, il s’agit de déployer le grand style français”, pour ce chef qui défend le répertoire français, au parcours des plus grandes scènes des quatre coins du Monde.

Tout en s’adaptant aux particularités des différentes identités sonores, la fonction d’un chef est de fédérer l’ensemble des musiciens dans son énergie.
A travers ses rencontres au Japon, Vietnam ou Russie, la musique reste pour lui un mystère, un langage universel qui rapproche les liens humains.

Laurent Campelonne est régulièrement invité dans les grandes maisons lyriques internationales, telles le Deutsche Oper de Berlin, l’Orchestre National du Brésil, le New Russia State Orchestra, l’Orchestre philarmonique de Dublin, l’Orchestre National des Pays de la Loire…

Rencontre avec un Chef d’Orchestre qui s’ouvre au partage et à la lumière de ses passions et de la musique à laquelle il aspire.